PRESSE


« Un solo coup de poing »
La Terrasse

» Cette façon de se jeter à corps perdu, toute en maîtrise, dans une danse en apparence minimaliste mais extrêmement ouvragée est la signature des grandes interprètes. Se faire la belle s’impose comme le puissant dernier volet d’un triptyque fondateur d’une œuvre, avec comme fil conducteur une quête d’identité et d’émancipation des diktats pesant sur le corps féminin. »
Danses avec la plume

« […] Débordante d’un talent subjuguant, d’une générosité communicative et d’une sincérité à vif, Leila Ka transcende par sa seule présence l’espace. […] Pode Ser révèle sans nul doute la quintessence de l’art en mouvement. »
Inferno Magazine

« Leïla Ka : solo monumental
Pour sa première création, Leïla Ka mêle les genres dans une chorégraphie intense. Seule sur scène face au public, sa présence est incandescente. Elle brûle littéralement les planches. […] Avec Pode Ser, elle livre le témoignage poignant d’une jeune femme qui, avec force et inventivité, se réapproprie et détourne les codes, les registres et les esthétiques pour s’affirmer. Une étoile naît donc sous nos yeux. Le propos est fort et son interprétation magistrale. Le format est court mais l’émotion intense. Cet instantané a la puissance d’un uppercut et d’une révélation. »
Les trois coups

« Leïla Ka aborde la question des contradictions de l’être avec une force peu commune. »
Danser Canal historique

« La jeune interprète mélange savamment et gracieusement hip hop et danse contemporaine. […] On songe à La Jeune fille et la Mort tant son discours est limpide, puissant et époustouflant de vérité en seulement 15 minutes. »
Danser Canal historique

« […] À voir de toute urgence ; Poder Ser et C’est toi qu’on adore, deux pièces percutantes qui visent juste et touchent au cœur. »
Les Inrockuptibles

« Une quête intime et identitaire. Le solo Pode ser met en joue les images, les costumes, les clichés dans lesquels on nous enferme et qui sont toujours si difficiles à dynamiter. Le duo C’est toi qu’on adore traite également de la quête de soi, en abordant cette fois le continent toujours inconnu. »
Télérama

« Autant à l’aise dans le hip-hop qu’en danse contemporaine, portée par un sens aiguisé du théâtre, Leïla Ka fusionne ses sources d’inspiration dans un désir de faire un spectacle total. Son nouvel opus en solo contient tout un programme qui se trouve résumé dans son titre : Se faire la belle. Et c’est une silhouette magnétique, électrique, qui explose sur le plateau. Elle présente aussi ce soir deux autres pièces : le duo sous pression C’est toi qu’on adore, qui dialogue avec le solo somptueux et tendu Pode ser. Par la danse, cette jeune chorégraphe entend mener un combat pour la liberté de se construire comme on le désire, aussi complexe que soit la tâche. »
Télérama Sortir

« Pour seule musique, les souffles des danseurs en résonance avec chaque mouvement. […] Avec grâce et poésie, les corps vacillent, tombent, se relèvent, se relèvent et se répondent, poussés par une urgence vitale et couronnés du salut des larmes, comme des étoiles brisées. Les sanglots semblent dire ce qui a été brisé mais préservé, pour ne pas perdre les morceaux de beauté. »
La Croix

« Leïla est une princesse furieuse, une guerrière romantique, un garçon manqué et déploie son corps en brisures d’origami, avec une énergie rageuse. Mélange des genres, mixité des styles et des danses, maîtrise de l’écriture et de la scénographie, Pode ser annonce la naissance d’une chorégraphe. »
CCCdanse

« La dance intrique l’élégante élasticité de l’agressée à la raideur d’une combattante. Tout est radicalement magnifique. La jeune chorégraphe hypnotise la salle. Chacun retient son souffle devant la beauté du geste, mais aussi devant ce combat entre cette formidable artiste et la musique. »
Toute la culture
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